Oliver Cromwell, promoteur historique de l'alliance judéo-anglo-saxonne |
E : EXCEPTIONNALISME
YES WE KILL |
L'actuel
président des USA a, dans un discours récent, rendu un hommage
lyrique à « l'exceptionnalisme américain »
(sic). Les USA seraient donc une nation d'exception. Qu'est-ce à
dire ? Sans doute, Obama a-t-il pensé à sa propre trajectoire
politique qui a permis à un métis comme lui (il n'est pas un Noir
américain au sens propre mais le rejeton d'une yankee bien blanche,
ethnologue employée de la CIA, et d'un kényan) de devenir chef de
l'état raciste et ségrégationniste à l'endroit des Noirs qu'ont
été -et que demeurent- les USA. Qu'un Noir américain soit en
mesure d'accéder aux plus hautes fonctions de l'état par son mérite
seul et par ses propres moyens, est une plaisanterie. Le choix du
président US se règle dans les coulisses de « l'état
profond » (Peter Dale Scott) qui, à l'occasion, n'hésite pas
à se débarrasser de lui (JFK). Cela étant, les dirigeants yankees,
gorgés de références bibliques, se sont de tout temps regardés
comme l'incarnation de la liberté guidant le monde, alors qu'ils
n'ont fait que réaliser ce que Hegel nommait « la bête
sauvage », c'est-à-dire une société civile réduite au libre
jeu des intérêts économiques individuels. La loi de la jungle, en
d'autres termes. Nation d'exception les USA ? sans doute :
au sens où elle a accompli un plurigénocide de nations indiennes,
qu'elle a été la seule à atomiser des civils, qu'elle prétend au
rôle de gendarme du monde, qu'elle fait payer aux peuples du monde
son invraisemblable dette (18 000 milliards de $), qu'elle impose son
dollar-monnaie de singe comme équivalent universel… Entre « nation
d'exception » et « peuple élu », le monde a vu se
former ce continuum judéo-yankee qui se pose, avec quelle
arrogance ! au-dessus de l'humaine condition, un monstre cupide
et sanguinaire, fauteur de troubles et de guerres : l'empire du
mal, assurément. (S'appuyant sur une lecture eschatologique du Coran
et de la Sunna, l'érudit musulman cheikh Imran Hussein estime qu'à
cette alliance démoniaque doit s'opposer une alliance de musulmans
et de chrétiens orthodoxes, la Russie en étant la pièce
maîtresse.)
F : FALLOUJA (Ci-dessous, le quarteron d'assassins de l'Irak)
Dick Cheney |
De
l'araméen Pallugtha, Fallouja, ville irakienne, est située à 70 km
à l'ouest de Baghdad. Elle compte plus de 300 000 habitants.
Lors de la première agression contre l'Irak (dite pudiquement
« guerre du golfe »), l'aviation yankee avait bombardé
un marché de Fallouja et fait 1360 morts. Un carnage dont les
habitants se souviendront. Après la deuxième agression contre
l'Irak (2003), une voiture blindée de mercenaires de la société
yankee Blackwater est prise à partie par la foule ; les
occupants, des mercenaires-tueurs, sont lynchés et pendus. L'armée
yankee va assiéger la ville pendant deux mois (avril, mai 2004),
bombardant
la population et faisant des milliers de victimes civiles.
Paul Wolfovitz |
G.W. Bush |
En
novembre 2004, G.W. est réélu : aussitôt, les yankees
repartent à l'assaut de Fallouja, utilisant toutes les armes, y
compris celles à uranium appauvri : les ONG estiment à 6000 le
nombre de civils tués. Plus grave :
Dans
les années qui suivirent,
le nombre de cancers
et de malformations congénitales a explosé. La
journaliste Angélique Férat, qui
a enquêté sur place, affirme que
chaque famille de Falloujah a son « bébé monstre ».
C'est
là le résultat de l'utilisation des armes sataniques que les
yankees expérimentent sur les populations. Comme au
Viet-Nam où
l'utilisation des défoliants, comme l'agent orange, continue de
produire des malformations chez les nouveaux-nés. Comme au Japon.
L'empire
du mal, on vous dit.
G : GAZA
Javier Bardem et son épouse Penelope Cruz "Halte au massacre !" |
Du
cananéen Gazza qui veut dire « forteresse » ; la
fondation de la ville remonterait au règne du pharaon Thoutmôsis
III (vers – 1400). La ville tire son importance stratégique du
fait qu'elle est la porte du Sham, le Levant. Elle sera prise par les
Philistins qui s'installeront dans l'espace compris entre Gaza et
Jaffa. Ce sont les Romains qui donneront le nom de Palestine à cette
région. Conquise en 634 par les Arabes et islamisée, prise par les
Croisés, reprise à ces derniers par Saladin, tombée entre les
mains des Mameluks puis dans celles des Ottomans, Gaza sera conquise
par les Britanniques en 1917, qui l'évacueront en 1948. De 1948 à
1967, elle est administrée par l'Égypte. Occupée par les hordes
sionistes en 1956 (lors de l'agression tripartite contre l'Égypte) ;
à nouveau occupée en 1967 par les mêmes, Gaza sera évacuée par
les sionistes en 2005. Depuis lors, la cité voit se répéter contre
elle les attaques d'une sauvagerie rare des indus-occupants de la
Palestine : 2008, 2012, 2014. Les dirigeants criminels de l'état
juif ne savent plus quoi faire de cette ville indomptable. Leur
ministre des AE propose officiellement de « la traiter comme
les Américains ont traité le Japon », c'est-à-dire de la
raser par le feu nucléaire. Aucun dirigeant du monde dit civilisé
n'a condamné ces propos de A. Liberman, juif moldave arrivé en
Palestine occupée en 1978, videur de boîte de nuit, qui entend bien
faire un holocauste d'Arabes palestiniens. À tout le moins de les
déporter. Avoir un « ministre » de cet acabit, vous
situe avec précision sur l'échelle de la barbarie. Au sommet.
H :
HIROSHIMA
Le
06 août 1945, les USA larguaient la première bombe atomique sur une
population civile à Hiroshima. 140 000 morts sur l'instant ;
200 000 quelques jours plus tard. Ce crime monstrueux sera suivi 3
jours après par le second du même type : une autre bombe
atomique sur des civils à Nagasaki : 70 000 morts. C'est un
président -petit boutiquier propriétaire d'une mercerie dans le
Missouri avant qu'il n'embrasse la politique, H. Truman-, qui,
effrayé par les pertes subies par ses « boys » face aux
Japonais, a donné l'ordre d'utiliser le feu nucléaire, alors que
les savants atomistes concepteurs de la bombe (Léo Szilard,
Oppenheimer, Einstein, Henrico Fermi, les trois premiers étant tous
Juifs, le 4° marié à une juive …) le pressaient de l'utiliser
contre les Allemands : ils n'avaient pas compris qu'on ne traite
pas un cousin germain comme on traite un Japonais (ou un Coréen, ou
un Vietnamien). Fermi et Einstein tentèrent ensuite de se refaire
une virginité morale en se proclamant pacifistes ! Quant au
boutiquier Truman, il ne figurait pas au tribunal de Nuremberg en
tant qu'accusé de crime contre l'humanité.
I :
INDONESIE
Dans
les années 60, l'Indonésie, dirigée depuis l'indépendance
-obtenue en 1945 contre la Hollande, pays colonisateur-, par Soekarno
-le père de cette indépendance-, connut un coup d'état
particulièrement sanglant. Soekarno, fondateur du mouvement des
Non-Alignés (1955) avec Nasser et Nehru, disposait du soutien du
puissant parti communiste indonésien (PKI). En 1965, une intense
campagne de la presse internationale est déclenchée : le PKI y
est accusé de préparer un coup d'état contre Soekarno et il est
question d'un bateau d'armes destinées aux communistes et provenant
de Chine. Le général Suharto renverse alors (en deux étapes) le
président Soekarno et entreprend une sanglante répression contre le
PKI qui ne s'achèvera que dans les années 90. On estime le nombre
de communistes et sympathisants assassinés à 500 000. Dans les rues
de Djakarta, on a vu les soudards de Suharto jouer à la
balle-au-pied avec des crânes de communistes. À la fin des années
80, un officiel de la CIA révélait fièrement que c'est son agence
qui avait monté toute l'affaire, qu'il n'y avait jamais eu de bateau
chinois plein d'armes, que le PKI était l'exemple même de la
loyauté envers Soekarno. Le crime avait été rendu possible par la
conjonction de deux facteurs humains : une armée félonne et
des médias criminels. La technique du rouleau-compresseur médiatique
écrasant tout sous une avalanche de mensonges éhontés sera
dupliquée au Chili (1973) contre l'Irak (2003) et, sous nos yeux en
Ukraine contre la Russie. Suharto, la marionnette tueuse des yankees,
régna de 1966 à 1998 et plongea le pays dans une mer de sang et de
corruption.
J :
JUIF
Shlomo Sand |
Juif,
le mot-piège : le terme désigne-t-il l'adepte d'une religion,
le judaïsme, ou bien l'appartenance à une race (ou une ethnie), le
récipiendaire d'une culture ou encore une nationalité ? La
polysémie du terme crée une ambiguïté qui autorise toutes les
approximations, toutes les confusions et, partant, tous les
interdits. Pour les tenants du sionisme, les Juifs appartiennent à
un même peuple, Israël, établi sur la terre d'Israël (confusion
fructueuse entre un peuple et une terre), ayant en partage une langue
-l'hébreu- et une religion -la religion mosaïque. Ce peuple aurait
été dispersé par les Romains en l'an 70 et il a donc vocation à
retourner chez lui, sur sa terre. Les études scientifiques
contemporaines infirment toutes la légende d'un peuple juif
constitué de toute éternité ainsi que les mythes et les grossiers
mensonges bibliques. Les fouilles archéologiques (menées par
l'entité sioniste elle-même) ont ruiné la fabuleuse histoire d'un
soi-disant royaume de David et de Salomon et l'historiographie
postsioniste contemporaine a rappelé que les Romains n'ont jamais
expulsé les habitants de la province de Judée. Exit la diaspora
et exit la sinistre « loi du retour » (en vertu de quoi
tout juif dans le monde est chez lui dans l'état sioniste). Il est
bien évident que la prétendue diaspora est le résultat d'un
prosélytisme juif très actif. Deux simples exemples à ce titre :
1) la conversion du royaume khazar (aux confins du Caucase, au 8°
siècle), dont les ressortissants donneront les Juifs ashkénazes (9
Juifs sur 10 dans le monde sont des ashkénazes) ; 2) la
conversion de Berbères nord-africains qui donneront les juifs
sépharades (lesquels passeront en Espagne et au Portugal à la
faveur de la conquête musulmane).
L'historien
Shlomo Sand (université de Tel-Aviv) a synthétisé toutes ces
données dans un livre percutant : Comment le peuple juif fut
inventé. À ces faits
historiques bien établis, la Hasbara sioniste et yankee a tenté de
riposter en excipant d'études de génétique des populations qui
prouveraient l'origine unique des Juifs du monde. Voici ce que leur
répond Shlomo Sand :
« Il
s'agit d'une amère ironie de voir les descendants des survivants de
l'Holocauste se mettre à la recherche d'une identité juive
biologique : Hitler aurait certainement été très heureux !
Et c'est d'autant plus répugnant que ce type de recherche est
effectuée dans un État qui a mené pendant des années une
politique déclarée de “judaïsation du pays” dans lequel,
aujourd'hui encore, un Juif n'est pas autorisé à épouser un
non-Juif.»
Et,
en 2013, S. Sand fait paraître un livre qui porte le titre :
Comment
j’ai cessé d’être juif. Il
y est dit : « Supportant
mal que les lois israéliennes m’imposent l’appartenance à une
ethnie fictive, supportant encore plus mal d’apparaître auprès du
reste du monde comme membre d’un club d’élus, je souhaite
démissionner et cesser de me considérer comme juif. »
Ou
comment retrouver l'universalité humaine.
K :
KISSINGER
Le Duc Tho |
Juif
allemand émigré aux USA dans les années 30, secrétaire d'État de
Nixon, il organisa personnellement le coup d'État contre S. Allende
au Chili. Son instrument fut l'armée félonne de ce pays et -comme
il le déclarera lui-même- les médias (« Chaque
journaliste a son prix », disait-il) qui menèrent une
énorme campagne mensongère contre Allende. Poursuivi en France pour
enlèvement et assassinat, il a dû détaler de son hôtel parisien
en cachette. Il sera, malgré tout, nobélisé pour avoir négocié
avec les combattants vietnamiens. Le chef de la délégation
nord-vietnamienne et ministre des Affaires étrangères, Le-Duc-Tho,
refusera le prix nobel, indigné que son nom figure à côté de
celui du grand criminel (ce que n'osera pas faire Y. Arafat qui a
accepté que son nom soit accolé à celui de Shimon Péres, autre
grand criminel et contorsionniste perfide qui a l'art de se faire
passer pour une conscience morale). Kissinger se rappelle à notre
bon souvenir à l'occasion des récents événements d'Irak : il
s'agit du phénomène EIIL (l'État islamique en Irak et au Levant)
qui vient de conquérir en quelques jours plus de la moitié du
territoire irakien -une avancée fulgurante qui laisse les
observateurs perplexes. Si l'on voulait bien se souvenir d'une
déclaration de Kissinger -en substance, il disait que les USA
déclencheront, quand ils l'estimeront opportun, la guerre de 100
ans au Moyen-Orient-, le phénomène trouve une explication :
par « guerre de 100 ans », Kissinger a expliqué qu'il
s'agissait d'une guerre entre sunnites et chiites. L'EIIL, instrument
israélo-saoudo-yankee pour empêcher que se forme le si redouté
« arc chiite » (Iran-Irak-Syrie-Sud-Liban) ?
Merci Messaoud, c’est tonifiant,
RépondreSupprimerJe ne sais plus qui a parlé du double handicap d’Obama. La couleur de sa peau et le second prénom de Barak Hussein Obama font de lui l’esclave dont rêverait n’importe quel Frankenstein. Ces deux vices de conception chez cet individu deviennent des atouts politiques majeurs lorsque la réalisation d’un projet ethnocidaire rappelle à l’état Dracula qu’il compte dans sa mémoire la précieuse expérience d’Ann Dunham (maman Obama) et de Lolo Soetoro, son second époux. Tous deux se sont gorgés de milliers d’hectolitres de sang indonésien.
Dans “La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA” (2nde partie) Wayne Madsen apporte les indispensables détails sans lesquels le sketch : Un noir dans une maison blanche serait énigmatique.
http://www.voltairenet.org/article167038.html