Gaza |
"Il n’ y aura pas d’école demain (en Palestine) on a tué tous
les enfants",
chantent
en dansant des "citoyens" de l'état juif qui dispose
de "l'armée la plus morale du monde", disent-ils.
Visionnez
donc
cette vidéo, amis lecteurs :
https://www.youtube.com/watch?t=65&v=L0lqnSdEUCw
https://www.youtube.com/watch?t=65&v=L0lqnSdEUCw
Comment
une telle ignominie est-elle possible ? Comment des êtres
humains peuvent-ils se réjouir du massacre d'enfants ?
Sont-ils
seulement des humains ? En
vérité, ce sont des monstres. Aristote définissait le monstre
(thèrion)
comme celui qui est incapable de vivre avec les humains. Que fait
d'autre l'état-monstre sioniste en s'isolant de ses voisins par de
gigantesques murailles de béton, en
déclarant que nul n'est autorisé à devenir citoyen de son
pays
à moins d'être juif, en exterminant les authentiques autochtones de
ce pays parce que non-juifs, en se plaçant au-dessus de la loi
humaine parce que "peuple élu" ?
Gaza |
LA DÉCOUVERTE
En
1958 -j'avais 15 ans-, j'étais en Seconde classique. Notre
professeur de Lettres nous prévint que nous devions lire la Bible si
nous voulions comprendre quelque chose aux auteurs essentiels du
programme, tels Agrippa d'Aubigné, Bossuet (et autres gais lurons). Je
me mis à la tâche au cours des vacances d'hiver. Pour moi, qui
n'avais qu'indifférence à l'égard des religions (mon père, proche
des réformistes de Benbadis et du PCA, m'avait interdit
catégoriquement de fréquenter l'école coranique), la Bible était
le Coran des chrétiens
et
je ne savais absolument rien de ces deux livres. La religion pour
moi, c'était
la bonté sans exclusive de mes parents, de notre voisine, Mme
Cassado, catholique qui aimait tant ma famille, de M. Jacob
Bensoussan, juif et ami intime de mon père, du seul ami vrai que
j'eus durant mes études, Joseph, chrétien fervent.
Au
lieu de quoi, je découvrais, effaré, un Dieu sanguinaire qui tue
tous les nouveaux-nés d'un pays -quoi d'étonnant, dès lors, que des barbares juifs fêtent le massacre d'enfants arabes ?- sur lequel il envoie neuf autres
plaies toutes plus cruelles les unes que les autres, un Dieu
exterminateur qui ordonne des génocides en bonne et due forme à des
sicaires tel Josué, un Dieu qui choisit l'une des peuplades qu'il a
créées pour qu'elle s'asservisse toutes les autres.
Je n'en revenais pas ! Que des peuples entiers et les trois religions abrahamiques sacralisent et idolâtrent un tel texte -au lieu de l'interdire tout simplement pour apologie de la violence et de la haine raciale et, accessoirement, pour pornographie- me sidérait. Je refermai ce catalogue de l'horreur et l'abandonnai définitivement "à la critique rongeuse des souris".
Je n'en revenais pas ! Que des peuples entiers et les trois religions abrahamiques sacralisent et idolâtrent un tel texte -au lieu de l'interdire tout simplement pour apologie de la violence et de la haine raciale et, accessoirement, pour pornographie- me sidérait. Je refermai ce catalogue de l'horreur et l'abandonnai définitivement "à la critique rongeuse des souris".
LE
RETOUR DU REFOULÉ
L'Histoire
nous rattrape toujours, heureusement. Face à l'incroyable sauvagerie
de l'état sioniste et de la société qu'il a sécrétée -société
faite de bric et de broc, dont les membres n'ont rien d'autre en
commun (un Russe et un Falacha?), que le système de valeurs que va
leur inculquer l'état sioniste-, il est impossible d'éviter plus
avant de se poser la question de l'origine de cette sauvagerie. La
réponse est contenue dans les prémisses : un système de
valeurs -une culture- qui tire son essence de la Torah (l'ancien
testament) et de son incessante rumination, le Talmud, voilà la
racine du mal.
On
a prétendu que le sionisme était un mouvement politique laïque. Si
c'était le cas, pourquoi aurait-il refusé les solutions
alternatives à la Palestine qui s'offraient à lui : Argentine,
Ouganda, Madagascar ? Un mouvement laïque aurait choisi l'un de
ces pays pour éviter justement que la religion ait trop de poids. En
préférant la Palestine, le sionisme savait très bien ce qu'il
faisait ; se servir du poids énorme de la religion afin
d'asseoir son état sur des bases que personne ne pourrait remettre
en cause et qui souderaient des populations hétérogènes. En
vérité, les dirigeants sionistes -quelle que soit leur obédience
politique- n'ont jamais perdu de vue leur objectif ultime :
l'édification d'un état juif, fait pour les seuls juifs, s'étendant
du Nil à l'Euphrate.
GazaDU NIL À L'EUPHRATE |
Pourquoi
du Nil à l'Euphrate ? Parce que la bible prétend que c'était
la terre des Hébreux ; en réalité, il s'agissait d'un espace
où nomadisaient plusieurs tribus de langues sémitiques : des
Arabes, des Syriaques, des Araméens, des Hébreux… Les grotesques
mensonges de la bible (repris et prolongés par le Coran) servent
aujourd'hui encore, au XXI° siècle, à légitimer une politique
criminelle de rapine et de génocide ! L'éminente égyptologue
(et résistante) française, Christiane Desroches-Noblecourt, n'avait
de cesse de dénoncer ces mensonges bibliques. Ainsi de
l'engloutissement de l'armée de Ramsès II par les flots alors que
l'on dispose d'une pièce hiéroglyphique (une pierre gravée) qui atteste
qu'à ce moment précis le pharaon guerroyait en Asie mineure contre
les Hittites (qu'il vainquit et dont il épousa la fille de leur roi
pour manifester son désir de paix). Ainsi également du prétendu
esclavage des Hébreux en Égypte : C.D-N rappelle que nous
disposons d'un document (une pierre gravée également) qui "raconte" la visite de pharaon à un chantier de construction et son dialogue
avec les ouvriers hébreux qui demandaient une augmentation de leur
rétribution. Du reste, Karl Marx s'était déjà avisé que la
société pharaonique ne pouvait pas "fonctionner" sur
le mode esclavagiste et avait suggéré la notion de "mode de
production asiatique" pour qualifier les sociétés chinoise,
indienne et égyptienne. K.A. Wittfogel prolongera cette réflexion
en parlant, lui, de "sociétés hydrauliques" dans
lesquelles les castes des dirigeants et des prêtres sont confondues.
Dit autrement, ces sociétés fonctionnent à l'idéologie, pas à la
contrainte.
Avant
tout le monde, cependant, c'est Ibn-Khaldoun qui pointait l'un des
plus gros mensonges bibliques : l'errance des Hébreux dans le
désert du Sinaï. Critiquant l'historien et géographe arabe El
Mas'oudi -qui prenait pour argent comptant ce que disait la bible sur
ce chapitre-, Ibn-Khaldoun montre que les "50 feux" hébreux soi-disant sortis d'Égypte auraient donné au bout de 40
ans (deux générations) à peu près 600 000 personnes. Admettons. Mais, dit IK, comment un
espace aussi aride et désertique que le Sinaï aurait-il pu nourrir
et abreuver une masse aussi considérable d'individus avec leurs
troupeaux ? (D'ailleurs, on peut se demander comment de
prétendus esclaves pouvaient posséder autant de biens !). Le cadi
(juge) musulman qu'était Ibn-Khaldoun ne voyait aucune contradiction
à exercer son esprit critique, fût-ce aux dépens de la bible, donc
du Coran ! Courageux ! Les musulmans d'aujourd'hui, ceux
que révolte à juste raison le martyre du peuple palestinien,
feraient bien de réfléchir à ce fait que la justification de la
sauvagerie sioniste est inscrite dans la bible, bible validée par le
Coran.
[N.B.
Voici ce que dit Wikipedia à propos de cet épisode biblique :
« Les
événements racontés par la Bible depuis l’exil d’Égypte
jusqu’à la conquête du pays
de Canaan qui
se seraient produits aux environs du xiiie siècle av. J.-C.,
ne sont en rien confirmés par les données archéologiques. Pour
toute la période qui précède le xie siècle av. J.-C. et
le règne de Saül,
on parle de « la protohistoire d’Israël ».
Les Benê Israël, ouvriers sur des chantiers dans le delta du Nil,
qui seraient sortis d’Égypte et
qui se seraient installés dans le pays de Canaan n’auraient été
en réalité que « plusieurs centaines, un millier tout au
plus, très loin des centaines de milliers que laisse entrevoir le
texte biblique ».
]
LE DIEU EXTERMINATEUR
LE DIEU EXTERMINATEUR
"Quand l’Éternel ton Dieu t’aura fait entrer dans le pays dont tu vas prendre possession, qu’il aura ôté de devant toi beaucoup de nations... tu les voueras à l’interdit ; tu ne traiteras point alliance avec elles, et tu ne leur feras point grâce." Deutéronome 7.1-2
Interviewé par le quotidien Libération du 28 août 2000, Horst Mahler, avocat allemand, fondateur de la Fraction armée rouge, dit : "Marx l’avait écrit en 1843 déjà : l’humanité doit s’émanciper du judaïsme. [...] Ce n’est pas les juifs qu’il faut tuer, c’est Yahvé, leur Dieu. Il n’y a pas de religion qui célèbre autant la haine que le judaïsme. Le génocide est un stéréotype de son culte qu’il propage."
L'édification d'un état juif du Nil à l'Euphrate est consubstantielle à un nettoyage ethnique -exigé par le dieu exterminateur de la bible- qui débarrasserait cet espace des Arabes, chrétiens et musulmans. L'Établissement ashkénaze -formé en très grande majorité de migrants polonais et russes- qui dirige l'état sioniste depuis sa création ne s'est jamais fait faute de le rappeler. Remarquons que lui qui manie à tout bout de champ le chantage à l'antisémitisme englobe dans son racisme anti-arabe les juifs sépharades, perçus comme autant d'Arabes ! D'où la tendance de ces derniers (nombreux en France) à être encore plus féroces envers les Arabes, à être plus sionistes que les ashkénazes.
À
ce propos, il convient de rappeler que le terme "sémite" ne désigne nullement une race ou une ethnie mais seulement un groupe
de langues dit "chamito-sémitique" et comprenant,
entre autres, l'amharique, l'arabe, l'araméen, l'hébreu, le
syriaque… Au vrai, la notion d'antisémitisme telle qu'elle est
instrumentalisée par l'état sioniste et ses sayanim (=agents
d'influence) est une invention du XIX° siècle, quand l'Europe se
découvrait sous les espèces de l'homme blanc colonisant le monde et
soumettant les peuples à sa volonté. L'antisémite serait, ainsi,
un raciste qui hait les Sémites (qui sont des langues) ! Le
tour de passe-passe a consisté à substituer le mot sémite au mot juif. Le résultat de cet amalgame est une
perversion générale du débat d'idées qui devient simplement
impossible : ainsi, vous n'avez pas le droit de dire que vous
n'aimez pas la religion hébraïque sans vous faire traiter de
raciste ; vous n'avez pas le droit de contester l'existence de
l'état sioniste paria sans vous faire traiter d'antisémite, etc..
Une police de la pensée s'est mise en place qui exerce un terrorisme
digne de l'Inquisition. En France -comble de lâcheté et de
démission-, c'est même une loi (donc la police) et non la libre
recherche qui dit ce que doit être la vérité historique !
RENDRE
PENSABLE LA DISPARITION DE L'ETAT D'APARTHEID SIONISTE
L'OLP (Organisation de libération de la Palestine) avait une charte sur la base de laquelle elle posait ses objectifs politiques à long terme : établir sur tout le territoire de la Palestine historique un état démocratique pluraliste et multiconfessionnel. C'était là, prendre à contre-pied le projet sioniste de construction d'un état juif -fait pour les seuls juifs- s'étalant du Nil à l'Euphrate.
La
propagande sioniste, disposant de moyens colossaux, avait
entrepris une formidable campagne de désinformation visant cette
charte. Tous les médias du monde occidental -plus ou moins tenus par
les réseaux d'influence sioniste- s'y étaient mis, sur le mode horrifié : "Ils veulent la DESTRUCTION d'Israël ! Vous vous rendez compte ?" (Et alors ? Un tel état mérite-t-il de vivre ?) Le résultat
recherché fut atteint : rendre
inimaginable l'idée même d'une remise en cause de l'existence de
l'état sioniste paria.
Parallèlement,
les services secrets sionistes (dont la devise est Par
la ruse)
préparaient l'arme fatale contre l'OLP : la construction d'un
mouvement islamiste, le Hamas, qu'ils financèrent et encouragèrent (oubliant qu'une chose se transforme toujours en son contraire). Avec
sa charte démocratique, l'OLP était en accord avec les valeurs
universelles qui fondent et définissent les états modernes.
L'entité sioniste entendait priver l'OLP d'un pareil titre
en se fabriquant un ennemi idéal : l'"Autre" absolu dans sa
différence radicale, afin
de
pouvoir se présenter devant l'Occident
comme "la
seule démocratie du Moyen-Orient".
L'époque,
les années 80, était à la découverte par les yankees (résultat
de la métabolisation de leur longue alliance avec la tribu des Al
Saoud)
que l'islam pouvait servir à asseoir
la
domination de l'Occident. On a dit de la vulgate wahabite qu'elle
était l'équivalent du protestantisme en chrétienté. De
fait, le wahabisme en tant qu'il est retour à la lettre coranique
est retour à la bible, à l'ancien testament. Ce n'est pas là la
moindre raison qui a fait que les yankees s'entendent si bien avec
les Al Saoud. On a pu dire également du wahabisme qu'il était une
judaïsation de l'islam : ritualisme sans spiritualité et
soumission à un dieu abstrait et à sa prétendue loi (halakha-charia). Cela est-il étranger à la
convergence d'intérêts nettement observable entre l'état sioniste
et la tribu des Al Saoud ?
Rien dans ce monde n'est éternel et moins encore les états : près de nous, les régimes racistes d'Afrique australe -dont l'un, la République sud-africaine, était une puissance nucléaire-, la Yougoslavie ont disparu. Si l'état sioniste est parvenu à convaincre la majorité de l'opinion occidentale que son existence fait partie de la nature des choses, il le doit en grande partie au soubassement culturel religieux de cet Occident : la bible. Depuis le XIX° siècle, en effet, depuis que Nietzsche -cet homme fou dont on serait bien en peine de définir et de classer le verbiage- a inventé la notion radicalement fausse de "judéo-christianisme", l'Occident chrétien a été sommé de revivre son histoire religieuse sous les espèces de la continuité entre judaïsme et christianisme. Rien de plus grotesque. Le christianisme s'est inscrit à sa naissance comme une négation du judaïsme dont il a fait un procès en règle, comme le montre avec éclat l'évangile de Matthieu. Il n'empêche : l'hégémonisme anglo-saxon et ses prétentions à la domination mondiale ont produit et légitimé cette alliance judéo-chrétienne (essentiellement protestante) qui se donne comme le pilier de la défense de l'Occident face à la barbarie.
DÉSHUMANISER
L'INDIGÈNE
Et
c'est à ce niveau que l'alliance spéciale des USA et de l'état
sioniste trouve l'une de ses explications, la raison de fond étant
que les deux entités se reconnaissent comme des nations de pionniers
fuyant les persécutions et la misère de la vieille Europe. D'où
la compréhension des yankees -qui ont effacé de la surface de la
terre des dizaines de nations indiennes- pour le génocide lent des
Palestiniens par l'état sioniste. D'où, également, la solidarité
de l'Australie -territoire-bagne
où le Royaume-Uni avait exilé ses coupeurs de route et autres
assassins qui éradiquèrent
les aborigènes de Tasmanie-
avec l'état juif. Le
Canada est lui aussi tenté de rejoindre ses cousins anglo-saxons
n'était le Québec.
C'est
que le colon a besoin de
déshumaniser l'indigène
pour se donner bonne conscience quand il le tuera et lui volera sa
terre. Si
les Algériens ont survécu à la colonisation, ils le doivent en particulier à
Napoléon III qui s'était écrié, lors de son second voyage en
Algérie (1865) : "Nous ne permettrons pas que
cette race fière et généreuse subisse le sort des Indiens
d'Amérique !".
C'est dire que le risque
était bien réel. La III°
République -celle de Jules Ferry- lâchera, par contre, ses chiens
civilisateurs sur le pays avec l'aide des généraux félons (félons, parce qu'ils sabotèrent systématiquement les directives de l'empereur), Mac
Mahon, Pélissier et
Cavaignac, le sinistre "nettoyeur" des ouvriers
parisiens insurgés en 1848.
LA
RUSE DES DEUX ÉTATS
La Hasbara -propagande- sioniste (à côté de laquelle la propanda
staffel nazie est de la petite bière) a dû, cependant consentir une petite concession aux
humanistes de tout bord qui s'inquiétaient, quand même, du sort
fait aux Palestiniens. Elle inventa alors la fable aimable des deux
états. Depuis
les accords d'Oslo (1993) consacrant cette duperie, que
s'est-il passé ? Un Premier ministre (Rabin, celui-là même
qui ordonnait de casser
au gourdin
les bras des
enfants lanceurs de pierres de la première Intifadha) assassiné, le
président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat empoisonné et
le nombre de colons juifs
en
Cisjordanie multiplié par trois. Un
état palestinien à côté de ce monstre froid, armé jusqu'aux
dents par son acolyte yankee et qui montre à chaque instant une
indifférence radicale à l'égard d'humains qu'il traite comme des
choses, imbu qu'il est de sa supériorité ontologique ?
Sinistre plaisanterie. Une entité palestinienne viable ne le serait
qu'à l'ombre d'une protection internationale, le temps de
débarrasser l'humanité du monstre sioniste. Car il faut rendre
pensable la disparition de cette aberration ; il ne faut plus
craindre de penser sa fin comme l'unique solution qui réglerait le
problème définitivement.
LA
FIN D'UNE IMPOSTURE
C'est
là la tâche de chacun, et d'abord des intellectuels -pour peu
qu'ils existent encore ! Ces derniers, en effet, de
recul en soumission devant
les sayanim,
ont
disparu du paysage. La France,
qui prétend être l'inventeur des
intellectuels, est
devenue le plus caricatural des cas : ses sayanim -tous issus de
la mouvance trotsko-maoïste (ce n'est pas un hasard : Trotsky
et Mao étaient des sanguinaires)- exercent un terrorisme idéologique
inconnu
jusque-là dans son histoire. Telle une outre pleine de vent, les
autres se sont dégonflés, se terrent ou, pour une majorité d'entre
eux, se font les supplétifs des sayanim triomphants.
Yes we kill |
Tout
cela n'aura qu'un temps. Restera seulement la honte et le sentiment
d'autodévalorisation quand l'état sioniste paria sera démonté par
ses propres parrains et que ses sayanim se cacheront pour ne jamais
reparaître, la honte de ne pas avoir résisté comme
cet admirable petit peuple qui fait face à la barbarie de l'empire
du mal avec ses moyens dérisoires. Dans le film "Full
metal jacket",
le très talentueux Stanley Kubrick met en scène la fabrique des
surhommes, les GI's américains. Il montre comment ils sont
dépersonnalisés,
déshumanisés afin de faire d'eux des machines à tuer. Puis, la
caméra les suit en situation réelle, durant la guerre du Vietnam.
Au cours d'une longue séquence admirable de maîtrise, le film
montre la progression d'une section de surhommes stoppée
net par un tireur vietnamien. Il s'agissait d'une frêle jeune fille,
presque une adolescente, qui mettait ainsi en échec les machines à tuer.
Comme
à Gaza aujourd'hui. Comme hier au sud Liban. Et de même que les yankees ont
détalé du Vietnam comme des lapins, les sionistes détaleront de la
Palestine. Leur présence ne laissera pas plus de traces -seulement le souvenir d'une sauvagerie rare, homologue de celle des Croisés mangeurs de chair humaine- que n'en ont
laissé les royaumes francs de Jérusalem car ils ne sont que "des passants à la parole passagère",
comme les avait prévenus Mahmoud Darwich.
En définitive, la colonie juive de Palestine n'aura de choix qu'entre l'apocalypse algérienne et le compromis sud-africain.
En définitive, la colonie juive de Palestine n'aura de choix qu'entre l'apocalypse algérienne et le compromis sud-africain.
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